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samedi 18 novembre 2017
mardi 10 octobre 2017
vendredi 6 octobre 2017
vendredi 8 septembre 2017
mercredi 6 septembre 2017
vendredi 1 septembre 2017
jeudi 31 août 2017
vendredi 25 août 2017
Le silence de la mer
Le jour se lève sur le chemin côtier.
La mer est tranquille et claque nonchalamment sur les rochers encore noirs.
Un petit lapin surpris se précipite sous les ajoncs.
Un groupe de mouettes se racontent leurs rêves.
Au loin, le moteur d’un bateau de pêcheur amateur signe la présence humaine. C’est l’heure de relever les casiers
C’est tout cela le silence de la mer.
Un silence qui enveloppe mon pas, mon souffle et mes pensées.
Un silence comme une photographie, bien plus complète que celle qu’on pourrait prendre avec le plus large des objectifs.
La brise est silencieuse aussi, car il n’y a pas d’arbre pour signifier sa présence.
Et que dire du soleil levant qui va bientôt donner, peu à peu, vie à toute chose….
La mer est tranquille et claque nonchalamment sur les rochers encore noirs.
Un petit lapin surpris se précipite sous les ajoncs.
Un groupe de mouettes se racontent leurs rêves.
Au loin, le moteur d’un bateau de pêcheur amateur signe la présence humaine. C’est l’heure de relever les casiers
C’est tout cela le silence de la mer.
Un silence qui enveloppe mon pas, mon souffle et mes pensées.
Un silence comme une photographie, bien plus complète que celle qu’on pourrait prendre avec le plus large des objectifs.
La brise est silencieuse aussi, car il n’y a pas d’arbre pour signifier sa présence.
Et que dire du soleil levant qui va bientôt donner, peu à peu, vie à toute chose….
mardi 22 août 2017
vendredi 14 juillet 2017
lundi 10 juillet 2017
Ci-vit.....
L’homme creusait.
Il avait choisi l’endroit avec soin, en bordure d’une forêt,
loin des routes passantes, entre un cerisier sauvage et un chêne rouge qui
avaient poussé là pour Dieu sait quelle raison.
Le travail était difficile. La terre était lourde et
collante et au bout d’un long effort, il sortit un mètre de sa poche : « 2
mètres par 80
centimètres par 50 centimètres.
Parfait ! »
« Je trouverai bien un ou deux copains pour remettre la
terre par-dessus. Moi, j’ai fait ce que j’avais à faire sur cette foutue terre.
Insister serait indélicat. Et hop ! Salut l’artiste »
Perdu dans ses pensées, il n’avait pas entendu s’approcher
un petit garçon.
« Qu’est-ce que tu fais, Monsieur ? »
Pris de court, l’homme répondit : « Une
piscine… »
L’enfant réfléchit un moment en fronçant les sourcils, puis
il dit : « Mais, Monsieur, c’est trop petit pour une
piscine !!! »
L’homme esquissa un sourire. « Tu as raison, je voulais
dire : une mare… »
Rassuré, l’enfant continua : « Tu vas la remplir
d’eau maintenant ? »
L’homme hésita et avec une moue gentiment résignée acquiesça:
« Oui, et ensuite, si tu veux, on ira chercher des plants de nénuphar, de jonc
et de myosotis pour la décorer. »
« On attrapera des grenouilles aussi ? »
« Non, il faut d’abord attendre que des insectes s’y
installent et ensuite, tu verras, elles viendront toutes seules. Et peut-être
aussi, des libellules et même des chauves-souris !! »
Quelques semaines plus tard, l’enfant revint à la mare.
En arrivant, son visage s’illumina et un sourire hilare
s’y accrocha.
L’homme avait fabriqué et installé une toute petite échelle
et un tout petit plongeoir en bois, et sur une pancarte plantée tout à côté, il
avait écrit : « Ci-vit, la marre aux idées noires ! »
Mais ça, l’enfant ne l’avait pas compris...
dimanche 25 juin 2017
dimanche 23 avril 2017
mercredi 19 avril 2017
dimanche 19 mars 2017
jeudi 23 février 2017
Écouter les autres....
Le problème avec les médias, c'est qu'ils ne sont principalement écoutés que par des gens qui partagent les mêmes idées qu'eux.
Je me trompe, ou bien.... ?
Je me trompe, ou bien.... ?
dimanche 19 février 2017
vendredi 10 février 2017
Frimousse
J’aime bien ta frimousse.
Je sais. On ne se connaît pas, mais on se croise de temps en
temps et si un jour je ne devais plus te voir, ça me manquerait.
Ta frimousse est pleine de petites rides. Les rides d’une
vie difficile ou, comme tu l’as dit, un jour, d’un parcours compliqué.
Mais tu es là.
Jamais tu ne montres ta douleur.
Toujours tu avances sans espoir impossible.
Jamais tu n’en veux à ceux qui ne t’ont rien fait, et même,
tu fais ce qu’il faut pour aider ceux qui, comme toi, sont dans la marge…
Et quand je t’ai sincèrement souhaité la bonne année, il y a
quelques semaines, tu as répondu avec un élan d’humour imperceptiblement
triste : « Cette année, c’est tout pour nous ».
« Nous »…. Pas « je »…
Nous, les gens qui, un jour, ont raté une marche et ont
dévalé l’escalier….
J’aime ta frimousse.
Et tu es une belle personne…
mercredi 11 janvier 2017
samedi 7 janvier 2017
lundi 2 janvier 2017
dimanche 1 janvier 2017
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